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Vente aux enchères publiques du 19 octobre 2016

La vente à l’enchère publique des biens immobiliers pv-vente-aux-encheres-19-oct-21016 de l’investisseur cible de la spoliation à la demande de RANARISON Tsilavo Tsiriniaina se fera  le 19 octobre 2016 à partir de 10 heures du matin à l’audience des criées du Tribunal de Première Instance d’Antananarivo, au Palais de Justice, salle N°07.

Elle a été déjà programmée le 21 septembre 2016 mais n’a pas pu être réalisée à cause de plusieurs irrégularités.

D’après cette lettre de dénonciation denonciation-henri-jose-et-heloise-et-toscan-en-francais délivré par Maître RABEARISOA Ndandison,  huissier de justice, ce lundi 10 octobre 2016, la vente aura lieu tant en présence de l’investisseur cible de la spoliation qu’en son absence.

Des journaux ont également annoncé cette vente à l’enchère publique.

Vous êtes TOUS invités à participer ou assister au dénouement de cette affaire le mercredi 19 octobre 2016.

76 virements internationaux qui ont des contreparties prouvées ont été considérées comme de l’abus des biens sociaux dans la plainte de RANARISON Tsilavo et les magistrats à Madagascar

Le mensonge véhiculé par RANARISON Tsilavo, gérant fondateur de NEXTHOPE depuis novembre 2012, directeur exécutif de CONNECTIC juqu’en septembre 2012, dans sa plainte avec demande d’arrestation du 20 juillet 2015, qui a permis de mettre en prison à Antanimora Solo pendant 5 mois est le suivant : Il a bien abus des biens sociaux perpétrés de la la part de son associé Solo car 72  virements internationaux s’élevant à 3 663 933 579,79 Ariary (équivalent de $480.488 euros et 958.941 euros avant conversion) ont été envoyés  à la société française EMERGENT par la société CONNECTIC  Madagascar sans qu’il y ait de contrepartie.

Solo a donc commis un délit d’abus de biens sociaux d’après le raisonnement de RANARISON Tsilavo gérant fondateur de NEXTHOPE depuis septembre 2012  car Solo a  favorisé une autre personne morale (en l’occurrence la société française EMERGENT) dans laquelle Solo était intéressé directement en recevant 3 663 933 579,79 Ariary sans contrepartie .

Pour aller plus loin : RANARISON Tsilavo a omis de dire à la chaîne pénale que les virements reçus par EMERGENT ont servi à payer les achats de CONNECTIC.

RANARISON Tsilavo a signé lui les 76 ordres de virements destinés à  la société EMERGENT par CONNECTIC

Pour notre gouverne, RANARISON Tsilavo, directeur exécutif de la société CONNECTIC jusqu’en septembre 2012, a signé  lui-même les 76  formulaires bancaires correspondant aux  72 ordres de virements internationaux et a aussi joint  une facture à chacun des 72 ordres de virement qu’il a envoyé à la société EMERGENT en France – RANARISON Tsilavo est le seul signataire des comptes bancaires de CONNECTIC –  Les 76 ordres de virement ont été établis sur une période s’étalant sur quatre années, de 2009 à 2012 pour acheter des équipements CISCO SYSTEMS en France que RANARISON Tsilavo a attesté la réception par un email récapitulatif gmail du mois d’avril 2012 authentifié par un huissier tant à Madagascar qu’en France .

De 2009 à 2012, sur quatre années, RANARISON Tsilavo a signé 76 ordres de virements internationaux et a établi lui-même 76 factures  de la société EMERGENT à CONNECTIC . RANARISON Tsilavo ne s’est donc aperçu qu’en juillet 2015 de ces anomalies qui ont duré près de quatre années et dont il est le principal acteur (il est la seule personne à avoir le pouvoir de signature).

Toutes les factures d’EMERGENT ont été établies chez CONNECTIC à Madagascar

Car toutes les factures de la société EMERGENT pour CONNECTIC sont établies à Madagascar par RANARISON Tsilavo lui même. En aucun moment dans toute la procédure, personne n’a pu désigné Solo comme celui qui a établi les factures de EMERGENT à CONNECTIC.

La première facture  de EMERGENT  établie par RANARISON Tsilavo a pour objet IOS et c’est RANARISON Tsilavo qui le dit

Telle cette facture établie le 3 mars 2009 pour 20 000 € d’IOS.
L’IOS est la fameuse licence pour téléchargement de logiciels de CISCO SYSTEMS qu’il évoque dans sa plainte du 20 juillet 2015. L’auteur des factures est sans équivoque : RANARISON Tsilavo, puisqu’il dit lui même «  je fais la facture de suite, 20 000 € de IOS« .

La société CISCO SYSTEMS qui a établi une attestation en faveur de RANARISON Tsilavo le 23 novembre 2013 appréciera.

L’extrait de la plainte avec demande d’arrestation de RANARISON Tsilavo du 20 juillet 2015 est  la suivante :

La plainte de RANARISON Tsilavo est basée sur la notion d’abus de biens sociaux effectués par Solo, son ancien patron car semble-il, il n’y a pas de contrepartie sur les virements internationaux dont RANARISON Tsilavo est lui-même le seul signataire des ordre de virements qu’il a envoyé  à la société EMERGENT. Oui, les 72 virements supposés illicites ont été tous approuvés par RANARISON Tsilavo en signant les ordres de virement bancaire.

Avec l’aide du Procureur Général près de la Cour d’Appel d’Antananarivo qui a traité directement le dossier, RANARISON Tsilavo a réussi mettre Solo en prison pendant 5 mois.

La Cour Suprême de Madagascar  a émis pour cela un pourvoi dans l’intérêt de la loi (PIL) le 20 septembre 2016 pour les raisons suivantes :

puisque les virements internationaux ont servi à la société française EMERGENT d’acheter les équipements vendus à Madagascar par la société CONNECTIC.

RANARISON Tsilavo gérant fondateur de NEXTHOPE a lui même confirmé dans un email daté du 25 avril 2012 la valeur des équivalents envoyés qu s »élèvent à  1.361.125 USD (359.223,52 + 510.282,85 + 491.615,31) et 297.032 Euros (18.886,30 + 128.972,83 + 149.173,80)  qui donnent un équivalent en Ariary de  3.643.003.529 Ariary, RANARISON-Tsilavo-reconnait-que-Solo-a-envoyé-des-équipements-à-Madagascar

L’appauvrissement observé chez CONNECTIC est  justifié par une dette existante et/ou par une prestation fournie par la société bénéficiaire, EMERGENT. Solo gérant de EMERGENT n’avait pas le d’un intérêt personnel direct ou indirect, dans le règlement de ces fausses factures (cass crim 1er mars 2000, n°98-86353) car elle a servi à régler les dettes de CONNECTIC. La mise en oeuvre d’un intérêt et d’une politique de groupe ne permet pas seulement d’établir l’existence d’un groupe. Elle sert aussi d’apprécier un flux financier de façon à déterminer s’il s’inscrit dans cet intérêt et cette politique.

Quant aux factures qui seraient arguées de faux, elles sont l’oeuvre de RANARISON Tsilavo lui même

C’est RANARISON Tsilavo, directeur éxecutic de CONNECTIC  lui-même qui le dit dans cet e-mail envoyé à Faizal BAHEMIA, le directeur territorial de WESTCON AFRICA COMSTOR le 4 mars 2009 :

Ainsi, on vous propose la seule solution possible.
On vous paie depuis notre  maison mère en France : EMERGENT NETWORK suivant le planning suivant :
– 50.000 USD par avance cette semaine, et
– Le solde 71 000 USD dans deux semaines (avant votre shipment),
> Par contre, vous devriez émettre une facture au nom de EMERGENT NETWORK au lieu de CONNECTIC

C’est clair et net, ce que dit RANARISON Tsilavo : « Par contre, vous devriez émettre une facture au nom de EMERGENT XXX au lieu de CONNECTIC« 

WESTCON AFRICA COMSTOR doit donc facturer la société EMERGENT au lieu de CONNECTIC pour les matériels destinés à la société CONNECTIC. Et c’est le schéma qui a été adopté à partir du mois de mars 2009.

RANARISON Tsilavo est le seul signataire des ordres de virement

Le seul et l’unique signataire des comptes bancaires de CONNECTIC qui ont servi à effectuer près de 72 virements internationaux vers la société française EMERGENT est RANARISON Tsilavo attestation-tsilavo-signataire-de-tous-les-comptes et un virement international ne peut se faire sans une facture de EMERGENT établie à Madagascar chez CONNECTIC.NEXTHOPE RANARISON est le seul signataire du compte bancaire de CONNECTIC chez BMOI
NEXTHOPE RANARISON est le seul signataire du compte bancaire de CONNECTIC chez BNI
NEXTHOPE RANARISON est le seul signataire du compte bancaire de CONNECTIC chez BOA

  1. Et d’ailleurs, le Procureur Général près de la Cour Suprême de Madagascara repris ces arguments dans sa requête pour le pourvoi dans l’intérêt de la loi (PIL) du 20 septembre 2016 : Qui dit PIL, dit Solo a raison et qu’il se passe des choses innommables à la Cour d’Appel d’Antananarivo.

LES REGLES DE DROIT SUR LES ABUS DE BIEN SOCIAUX

D’après l’article 931 LOI N° 2003-036 Sur les Sociétés Commerciales,  « le gérant de la société à responsabilité limitée, les administrateurs, le président directeur général, le directeur général, l’administrateur général ou l’administrateur général adjoint qui, de mauvaise foi, font des biens ou du crédit de la société, un usage qu’ils savaient contraire à l’intérêt de celle-ci, à des fins personnelles, matérielles ou morales, ou pour favoriser une autre personne morale dans laquelle ils étaient intéressés, directement ou indirectement. »

On va se référer au livre écrit par le Professeur RAKOTOMANANA Honoré, Magistrat honoraire, Professeur de droit, Droit pénal malgache des affaires, Edition 2003, Jurid’ika  page 168 et suivants.

Pour qu’il y ait abus des biens sociaux, il faut d’une part que le dirigeant ait fait usage des biens ou du crédit de la société et, d’autre part, qu’il s’agisse d’un usage contraire à l’intérêt social. L’intérêt à prendre en considération est celui de la société et non celui des associés, lequel peut être distinct de celui de la société.

D’après toujours, le Professeur RAKOTOMANANA Honoré,

la jurisprudence admet que l’abus des biens sociaux peut disparaître aux conditions qu’elle pose : il faut que le concours financier soit dicté par un intérêt économique, social et financier commun, apprécié au regard d’une politique élaborée pour l’ensemble du groupe : le concours financier ne doit pas être sans contrepartie.

Le Professeur RAKOTOMANANA Honoré poursuit :

 » Evidemment, pour que le délit soit caractérisé, le texte exige expressément l’existence de la mauvaise foi ; d’une part, le mandataire social doit avoir agi sciemment ne pouvant douter  que l’acte auquel il se livrait fût contraire aux intérêts de la société ; d’autre part, il a dû savoir que du fait de l’opération , la société subirait ou pouvait subir un préjudice. L’élément moral est double : la mauvaise foi de l’auteur de l’abus, et un dol spécial relatif à la poursuite à des fins personnelles.

Jurisprudence 1 : paiement des fausses factures

Une société ayant payé trois factures fictives sans en tirer aucune contrepartie, son dirigeant de fait est condamné pour abus de biens sociaux. Cette condamnation est censurée par la Cour de cassation car les juges auraient dû rechercher si le dirigeant avait un intérêt personnel direct ou indirect, dans le règlement de ces fausses factures (cass crim 1er mars 2000, n°98-86353).

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Jurisprudence 2 : avantages à d’autres sociétés

Les avantages octroyés à d’autres société sont contraires à l’intérêt social, dès lors qu’ils ne sont pas compensés par une contrepartie. C’est ainsi que l’abus est constitué chaque fois que l’appauvrissement observé n’est pas justifié par une dette existante ou par une prestation fournie par la société bénéficiaire.

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Pour aller plus loin : Les virements internationaux ont permis de régler partiellement les achats de CONNECTIC à EMERGENT

Jurisprudence 3 : Intérêts du groupe

La mise en oeuvre d’un intérêt et d’une politique de groupe ne permet pas seulement d’établir l’existence d’un groupe. Elle sert aussi d’apprécier un flux financier de façon à déterminer s’il s’inscrit dans cet intérêt et cette politique.
Il convient, en effet, que les flux financiers intervenant antre sociétés appartenant à un même groupe aient été dictés par un intérêt économique social ou financier commun, apprécié au regard d’une politique élaborée pour l’ensemble du groupe (Cim, 4 fevr. 1985, préc. supra. n°82). a ce titre, ils doivent servir l’intérêt commun des sociétés du groupe.

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Comme quoi les contes de fée ne sont que des légendes, les success stories à la mode malgache .

Grève sans préavis chez CONNECTIC en 2012

Une grève a été déclenchée sans préavis a été déclenchée en avril 2012 chez CONNECTIC sans préavis, du jour au lendemain. Le meneur, RAKOTOARISOA Lyna, est la déléguée de personnel qui sera plus tard chez DATALINK, la société qui a fait de l’intrusion chez CONNECTIC. RAKOTOARISOA Lyna travaille actuellement chez NEXTHOPE Madagascar.  On ne fait pas une grève à Madagascar sans avoir épuisé les procédures de conciliation, de médiation et d’arbitrage contrairement en France par exemple, où une grève dans le secteur privé peut être enclenchée à tout moment.
Une grève qui ne suit pas les procédures est illégale et devient un conflit individuel

« Le droit de grève est acquis à la date de la réception par l’inspection du travail du constat d’échec total ou partiel de la négociation, sous réserve de l’observation d’un délai de préavis de quarante huit (48) heures adressée par lettre recommandée à l’employeur. Une copie de cette lettre de préavis est communiquée au Médiateur.
Or la lecture des dossiers en notre possession laisse apparaître que les démarches relatées précédemment n’ont pas été suivies rigoureusement. Par conséquent force est d’admettre que l’intervention de l’inspection du travail dans le déroulement des griefs qui vous oppose à votre employeur n’entre pas dans le cadre de la résolution d’un conflit collectif telle que cela est prévue par le code du travail. Il y 
lieu dans le cas d’espèce de procéder à la conciliation laquelle procédure est prévue par les articles 199 et suivant du code du travail en ce qui concerne la résolution des différends individuels. »
Lettre du 10 mai 2012 du Directeur régional de la fonction publique, du travail et lois sociales d’Analamanga aux délégués de personnel de la société CONNECTIC Monsieur Meja RANDRIANANIMANANA  et Madame Lyna RAKOTOARISOA

Loi no 94-029 du 25 août 1995 portant Code du travail.
(Journal officiel, 25 septembre 1995, no 2324, pp. 2564-2577.)

Article 170.  Le droit de grève, reconnu et garanti par la Constitution, s’exerce dans le cadre des lois en vigueur et après épuisement des procédures de conciliation, de médiation et d’arbitrage prévues par les articles 173 et suivants du présent Code de travail malgache.

Le mercredi 25 avril 2012 à midi, Solo reçoit en France un e-mail provenant de RAKOTOARISOA Lyna, déléguée du personnel de CONNECTIC actuellement chez NEXTHOPE .

 » … Pour toutes ces raisons, le personnel fait part à la Direction des décisions suivantes après un vote majoritaire:

  • La Direction doit donner une réponse claire d’ici le 26 avril 2012 à 12h à tout le personnel sur l’augmentation et les primes.
  • La Direction doit donner une explication au personnel pour justifier le fait que notre demande est une ingratitude.
  • La Direction doit donner au personnel la perspective d’avenir de la société cible de la spoliation.
  • La Direction doit donner une explication du fait qu’elle a fait son deuil envers tout le personnel.
  • La Direction doit expliquer au personnel si le « tany est vraiment maina » au sens propre du terme pour ConnecTIC ou qu’est ce qu’elle entend par cela.
  • Dans le cas échéant, le personnel de la société cible de la spoliationeffectuera une cessation de travail jusqu’à l’obtention de réponse favorable.
  • Afin de donner à la Direction le temps de réflexion; le personnel ne sera pas disponible sur gtalk à partir de l’envoi de ce PV de réunion.

La réunion s’est achevée à 10h30.
Ankadivato, le 25 avril 2012, « 

Faute de réponse en 24 heures chrono pour une prime de 5 mois de salaires et 25 % d’augmentation, une partie du personnel sera en grève

Faute de réponse en 24 heures chrono, une partie du personnel sera en grève et les délégués ont pris soin de couper tous les moyens de communication entre Solo et le personnel puisque le moyen de communication gtalk employé dans l’entreprise a été rendu inopérant.

Solo a accepté l’augmentation de 25 % des rémunération mais a refusé la demande de 5 mois de salaire à titre de primes, ou 5 mois de salaire à titre de prime vous avez bien lu. La machine pour mettre KO CONNECTIC au profit de NEXTHOPE est en marche.

 

(conciliation-inspecteur-de-travail)

La grève a été déclarée illégale par l’inspection de travail et une procédure de licenciement individuel a été intentée aux salariés qui n’ont pas repris leur travail.

Les salariés grévistes ont presque tous intégrés DATALINK puis dans la nouvelle entité créée par RANARISON Tsilavo tsiriniaina, associé à 20 % hez CONNECTIC

Les noms des grévistes chez CONNECTIC en 2012, la plupart se retrouve chez NEXTHOPE:

  • RATAHINARISOA Harinirina (Ingénieur certifié CCNP (Inde)- CCNA financé par CONNECTIC avec deux séjours en Inde)
  • RAZAFINDRALAMBO Eric (certifié CCDA financé par CONNECTIC)
  • ANDRIANARIVO Antra (ingénieur certifié CCDA financé par CONNECTIC)
  • RAHARISON Gisèle
  • RANDRIANASOLO Tanteliharijaona (ingénieur CCNA financé par CONNECTIC)
  • ANDRIANASOLO Toky
  • RAHARIMANANA Jacquelin  Landris
  • RASOANAIVO Harinindriana Sendra Hajaniaina
  • RAKOTOHARINTSOA Tahiriniaina José Clément
  • ANDRIANALY Andry Tiana
  • RAKOTONDRAVELO Rahameloarifetra
  • RASOAMAKA Hajaharinoro (Tantely)
  • ANDRIAMAMPIHERIKA Jonathan Lalaina
  • RAFANOMEZANA Hajalalaina Eric
  • RAKOTOASIMBOLA Rémi Gérard
  • RAMAMIARISON Terence Johnson
  • RANDRIANASOLO ANDRIAMBOLANIAINA Rivoson Henri

    Délégués de la société
    grevistes:
  • RANDRIANIMANANA Mejamirado (Ingénieur CCNP (Inde) financé par CONNECTIC)
  • ANDRIANJATO Tolotra
  • RAKOTOARISOA Lyna (Cisco sales expert financé par Connectic

Le résumé de cette affaire

Une plainte avec demande d’arrestation déposée par Maître Fredon Armand RATOVONDRAJAO, avocat de RANARISON Tsilavo, ancien directeur exécutif de CONNECTIC jusqu’en septembre 2012, gérant fondateur de NEXTHOPE Madagascar depuis novembre 2012, contre son ancien patron Solo, associé à 80 % de CONNECTIC chez le Procureur Général près de la Cour d’Appel (PGCA) d’Antananarivo le 20 juillet 2015, a été transmis par celui-ci à la Police économique le 21 juillet 2015. La police économique a interrogé RANARISON Tsilavo et ses deux témoins, RAHARISON Gisèle et RAKOTOARISOA Lyna ancien salarié de CONNECTIC jusqu’au mois de mai 2012, puis ont travaillé chez DATALINK et travaillent actuellement chez NEXTHOPE Madagascar :

  • RAHARISON Gisèle est le responsable de DATALINK qui a fait une intrusion informatique et écoute téléphonique chez CONNECTIC en octobre 2012,
  • RAKOTOARISOA Lyna est la déléguée du personnel de CONNECTIC en avril 2012 qui a mené une grève sans préavis du jour au lendemain ayant comme revendication pour l’ensemble des salariés l’augmentation de 25 % des rémunérations et l’obtention d’une prime équivalent à 5 mois de salaires. La grève a été jugée illicite par la Direction provinciale du travail.

Solo a été mis en mandat de dépôt à Antanimora le 29 juillet 2015, soit une dizaine de jours après le dépôt de la plainte avec demande d’arrestation malgré toutes les preuves fournies à la police économique, au Substitut et au juge d’instruction. En effet, RANARISON Tsilavo a proposé le marché suivant, un second protocole d’accord avalisé par un « olom-be de la justice » qui abandonne la poursuite pour intrusion contre RAHARISON Gisèle et ANDRIANARIVO Antra, ingénieur greviste chez CONNECTIC et qui comme RAHARISON Gisèle et RAKOTOARISOA Lyna a travaillé chez DATALINK puis maintenant chez NEXTHOPE Madagascar.

Solo a passé près de 5 mois en détention malgré toutes les preuves écrites, les doléances déposées au Ministère de la justice à Madagascar et les évidences que les allégations avancées par RANARISON Tsilavo sont fausses et facilement démontables.

On décidé de médiatiser cette affaire pour qu’elle soit un cas d’école et que justice s’ensuive.

Loi no 94-029 du 25 août 1995 portant Code du travail.
(Journal officiel, 25 septembre 1995, no 2324, pp. 2564-2577.)

Article 170.  Le droit de grève, reconnu et garanti par la Constitution, s’exerce dans le cadre des lois en vigueur et après épuisement des procédures de conciliation, de médiation et d’arbitrage prévues par les articles 173 et suivants du présent Code.

On ne fait pas une grève à Madagascar sans avoir épuisé les procédures de conciliation, de médiation et d’arbitrage contrairement en France par exemple, où une grève dans le secteur privé peut être enclenchée à tout moment.

Une grève qui ne suit pas les procédures est illégale et devient un conflit individuel.

Le mercredi 25 avril 2012 à midi, l’investisseur cible de la spoliation reçoit en France un e-mail provenant de RAKOTOARISOA Lyna, déléguéé du personnel de l’entreprise de l’investisseur cible de la spoliation à Madagascar.

 » … Pour toutes ces raisons, le personnel fait part à la Direction des décisions suivantes après un vote majoritaire:

  • La Direction doit donner une réponse claire d’ici le 26 avril 2012 à 12h à tout le personnel sur l’augmentation et les primes.
  • La Direction doit donner une explication au personnel pour justifier le fait que notre demande est une ingratitude.
  • La Direction doit donner au personnel la perspective d’avenir de la société cible de la spoliation.
  • La Direction doit donner une explication du fait qu’elle a fait son deuil envers tout le personnel.
  • La Direction doit expliquer au personnel si le « tany est vraiment maina » au sens propre du terme pour ConnecTIC ou qu’est ce qu’elle entend par cela.
  • Dans le cas échéant, le personnel de la société cible de la spoliationeffectuera une cessation de travail jusqu’à l’obtention de réponse favorable.
  • Afin de donner à la Direction le temps de réflexion; le personnel ne sera pas disponible sur gtalk à partir de l’envoi de ce PV de réunion.

La réunion s’est achevée à 10h30.

Ankadivato, le 25 avril 2012, « demande-du-25-avril-2012-1

Faute de réponse en 24 heures chrono, une partie du personnel sera en grève et les délégués ont pris soin de couper tous les moyens de communication entre l’investisseur cible de la spoliation et le personnel puisque le moyen de communication gtalk employé dans l’entreprise a été rendu inopérant.

Le chef d’entreprise a accepté l’augmentation de 25 % des rémunération mais a refusé la demande de 5 mois de salaire à titre de primes.(conciliation-inspecteur-de-travail)

La grève a été déclarée illégale par l’inspection de travail et une procédure de licenciement individuel a été intentée aux salariés qui n’ont pas repris leur travail.

Les salariés grevistes ont presque tous intégrés une nouvelle entité créée par RANARISON Tsilavo tsiriniaina, la société NEXTHOPE, associé à 20 % de Solo.

Les noms des grévistes :

L’authentification du rapport du commissaire aux comptes qu’on attend toujours

L’article 132 du texte qui régit le rapport du commissaire aux comptes à Madagascar dit : »Article 132. Le commissaire aux comptes fait état de ses observations dans son rapport à l’assemblée générale annuelle.

Le commissaire aux compte qui a été contacté évoque que le rapport du commissaire aux comptes et la lettre de gestion forment un tout. Qu’est ce donc cette lettre de gestion évoquée par le commissaire aux comptes ?

Selon l’article 132 , le commissaire aux comptes signale notamment les irrégularités et les inexactitudes significatives relevées par lui au cours de l’accomplissement de sa mission. »

Les question qui se posent sont les suivantes :

  • si les irrégularités et les inexactitudes relevées par le commissaire aux comptes au cours de l’accomplissement de sa mission ont été corrigées qu’est ce qu’il doit mentionner dans son rapport ?
  • Est ce que la sanction pour des irrégularités et des significatives qui persistent dans les comptes annuels présentés n’est elle pas le refus de certifier et la saisie du Procureur de la République ?

Dans la plainte adressée au Procureur Général de la Cour d’Appel d’Antananarivo, l’avocat de RANARISON Tsilavo Tsiriniaina , Maître Fredon Armand RATOVONDRAJAO, il est question de : « Qu’en effet, le commissaire au compte a signalé un recel et un détournement de biens sociaux effectués par SA, en comptabilisant directement dans son compte courant des ventes de l’exercice 2011 d’un montant de 1 623 321.99 Ariary, ainsi qu’une fraude fiscale et détournement en faisant apparaitre dans le compte courant de ce dernier des TVA non collectées et non déclarées de 2008 à 2010 d’un montant de 351 121 767.62 Ariary correspondant à des ventes de 2 106 730 605.72 Ariary de ces trois années « 

Le commissaire aux comptes interrogé répond que cette assertion peut provenir de la lettre de gestion qu’il a établi. Donc si on a bien suivi son raisonnement, il a été établi une lettre de gestion de gestion et un rapport de commissaire aux comptes.

On revient à la question sur le contenu du rapport du commissaire aux comptes, est ce bien l’article 132 et suivant qui le régissent ?

On a une assertion dans dans la plainte adressée au Procureur Général de la Cour d’Appel d’Antananarivo, l’avocat de RANARISON Tsilavo Tsiriniaina , Maître Fredon Armand RATOVONDRAJAO qui dit que « Qu’en effet, le commissaire au compte a signalé un recel et un détournement de biens sociaux effectués par SA, en comptabilisant directement dans son compte courant des ventes de l’exercice 2011 d’un montant de 1 623 321.99 Ariary, ainsi qu’une fraude fiscale et détournement en faisant apparaitre dans le compte courant de ce dernier des TVA non collectées et non déclarées de 2008 à 2010 d’un montant de 351 121 767.62 Ariary correspondant à des ventes de 2 106 730 605.72 Ariary de ces trois années « 

Cette assertion est elle ou non dans le rapport du commissaire aux comptes ? Que ça soit le rapport général ou le rapport spécial ? Qu’est c’est une lettre de gestion que le commissaire aux comptes dit qu’elle fait partie intégrante du rapport du commissaire aux comptes ?

 

 

REPOBLIKAN’I MADAGASIKARA

Tanindrazana-Fahafahana-Fandrosoana

MINISTERE DE LA JUSTICE

LOI N° 2003-036
Sur les Sociétés Commerciales

L’Assemblée nationale et le Sénat ont adopté en leur séance respective en date du 29
octobre 2003 et du 10 décembre 2003, la Loi dont la teneur suit :

CHAPITRE II

MISSION DU COMMISSAIRE AUX COMPTES

SECTION PREMIERE
Obligations du Commissaire aux Comptes

Article 129. Le commissaire aux comptes exerce sa mission dans le respect de la loi sur la profession comptable, des codes d’éthique et de déontologie, du règlement intérieur ainsi que des normes professionnelles de l’Ordre.

Article 130. Le commissaire aux comptes a pour mission permanente, à l’exclusion de toute immixtion dans la gestion, de vérifier les valeurs et les documents comptables de la société et de contrôler la conformité de sa comptabilité aux règles en vigueur.

Article 131. Le commissaire aux comptes vérifie la sincérité et la concordance avec les états financiers de synthèse, des informations données dans le rapport de gestion des dirigeants, et dans les documents sur la situation financière et les états financiers de synthèse de la société adressés aux associés ou actionnaires.

Il certifie que les états financiers de synthèse sont réguliers et sincères et donnent une image fidèle du résultat des opérations de l’exercice écoulé ainsi que de la situation financière et du patrimoine de la société à la fin de cet exercice.

Article 132. Le commissaire aux comptes fait état de ses observations dans son rapport à l’assemblée générale annuelle.

Il y signale notamment les irrégularités et les inexactitudes significatives relevées par lui au cours de l’accomplissement de sa mission.

Article 133. Dans son rapport qu’il doit livrer au plus tard 15 jours avant l’assemblée générale ordinaire, le commissaire aux comptes déclare :

1° soit certifier la régularité et la sincérité des états financiers de synthèse,

2° soit assortir sa certification de réserves ou la refuser en précisant les motifs de ces réserves ou de ce refus.

Article 134. Le commissaire aux comptes, en outre, révèle au ministère public les faits délictueux préjudiciables à la société dont il a eu connaissance dans l’exercice de sa mission, sans que sa responsabilité puisse être engagée par cette révélation.

Article 135. Le commissaire aux comptes s’assure enfin que l’égalité entre les associés est respectée, notamment que toutes les actions d’une même catégorie bénéficient des mêmes droits.

Article 136. Sous réserve des dispositions de l’article 134, le commissaire aux comptes, ainsi que ses collaborateurs sont astreints au secret professionnel pour les faits, actes et renseignements dont ils ont pu avoir connaissance en raison de leurs fonctions.

La victime « l’Associé – cible de la spoliation » est très marquée par cette affaire (financièrement et mentalement), c’est pour cela que nous avons fait le pari que tôt ou tard, la justice, la vraie, soit rendue avec votre aide.

« Peu importe le temps qu’il nous faudra pour réparer ces injustices, nous, fort de notre droit, nous fraierons un chemin jusqu’à la victoire totale  » Roosevelt

Le rapport du commissaire aux comptes

 

 La spoliation d’un investisseur franco-malgache par les magistrats malgaches

Le jugement du tribunal correctionnel du 15 décembre 2015 est sans motivation, se contentant de dire « Il résulte preuve suffisante contre le prévenu Solo d’avoir commis le délit d’abus de confiance à lui reprocher ». Que dire de plus ?

La victime directe et personnelle de l’abus des biens sociaux est la société CONNECTIC et non RANARISON Tsilavo, simple associé : L’article 6 du code de procédure pénale malgache ainsi que l’article 181 de loi sur les sociétés commerciales à Madagascar sont clairs.

Les preuves que la justice malgache a été manipulée par RANARISON Tsilavo pour faire condamner Solo, son patron, à 2 ans de prison avec sursis et 428.492 euros d’intérêts civils à régler à RANARISON Tsilavo, un simple associé, alors que c’est la société CONNECTIC qui est la victime directe et personnelle

RANARISON Tsilavo a perdu son référé auprès du Tribunal de Grande Instance d’Evry (France) pour diffamation pour interdire la publication sur différents sites de l’état de la Justice à Madagascar avec RANARISON tsilavo en toile de fond 

Les mensonges de RANARISON Tsilavo prouvées par des preuves écrites

Les jugements rendus par les magistrats malgaches violant la loi au bénéfice de RANARISON Tsilavo

Les virements de 1.047.060 euros, objet de la plainte pour abus de biens sociaux de RANARISON Tsilavo, tous les ordres de virement signés par RANARISON Tsilavo, ont une contrepartie de 1.321.125 USD et 297.032 EUROS de matériels reçus par CONNECTIC d’après l’email du 25 avril 2012 de RANARISON Tsilavo lui-même

Les factures d’achat d’équipements CISCO auprès du revendeur WESTCON Africa, revendeur agréé CISCO, ainsi que les échanges de correspondance par la société française EMERGENT NETWORK d’après un schéma de travail tripartite (CONNECTIC – WESTCON AFRICA – EMERGENT NETWORK )établi par RANARISON tsilavo lui-même en mars 2009. RANARISON Tsilavo a lui même établi une facture d’IOS (logiciciel de CISCO) de 20.000 euros en mars 2009

Les douanes françaises ont constaté que la société EMERGENT NETWORK a envoyé à la société CONNECTIC pour 1.415.430 euros de matériels.

La victime directe et personnelle de l’abus des biens sociaux est la société CONNECTIC et non RANARISON Tsilavo, simple associé : L’article 6 du code de procédure pénale malgache ainsi que l’article 181 de loi sur les sociétés commerciales à Madagascar sont clairs.

L’arrêt de la Cour d’appel d’Antananarivo a violé l’article 2 du code de la concurrence et l’article 1598 du code civil malgache. Il a également traduit de travers une attestation pourtant claire de la société CISCO.

Le jugement du tribunal correctionnel du 15 décembre 2015 est sans motivation, se contentant de dire « Il résulte preuve suffisante contre le prévenu Solo d’avoir commis le délit d’abus de confiance à lui reprocher ». Que dire de plus ?

L’intérêt civil est dû au victime direct et personnel de l’infraction, la société CONNECTIC, et non à un simple associé : L’article 6 du code de procédure pénale malgache ainsi que l’article 181 de loi sur les sociétés commerciales à Madagascar sont clairs.

Le pouvoir souverain des juges du fond est applicable à condition que les décisions soient motivées et s’appuyent sur une base légale. Et comme le jugement du tribunal correctionnel est sans motivation tour en violant les lois malgaches tandis que l’arrêt de la Cour d’appel ne fait que violer la loi dans motivation.

Le jugement du tribunal de commerce du 27 mars 2019 présidée par RAKOTOARILALAINA Annick Rosa fait référence à l’article 301 de la LTGO concernant l’autorité de la chose jugée alors que c’est la première fois que RANARISON Tsilavo et la société CONNECTIC a affaire à la justice

RANARISON Tsilavo a signé la totalité des 76 virements de la société CONNECTIC vers la société française EMERGENT que RANARISON Tsilavo considère comme sans contrepartie dans sa plainte pour abus des biens sociaux contre son patron Solo

Un matériel de la société CISCO peut être revendu librement contrairement à la plainte de RANARISON Tsilavo et à la motivation des Cours à Madagascar. Car l’article 2 de la loi sur sur la concurrence ainsi que le contenu du site web de la société CISCO sont sans équivoque

On ne peut pas modifier un message qui a été envoyé par la messagerie GMAIL de GOOGLE contrairement aux mensonges de RANARISON Tsilavo auprès de la chaîne pénale malgache

 

Comment RANARISON Tsilavo fondateur de NEXTHOPE a réussi à mettre en prison son ancien patron Solo de CONNECTIC avec une plainte pour ABS pourqu’il abandonne une plainte pour intrusion informatique et surtout essayer de spolier Solo

Avoir des salariés, RAHARISON Gisèle et ANDRIANARIVO Antra, envoyés au tribunal correctionnel d’Antananarivo par le doyen des juges d’instruction (DDJ) pour intrusion informatique pour une entreprise qui gère des déploiements d’infrastructure réseau ça fait désordre pour RANARISON Tsilavo ancien directeur exécutif de CONNECTIC jusqu’en septembre 2012, gérant fondateur de NEXTHOPE depuis novembre 2012 .

Pour aller plus loin :
– Intrusion informatique à Madagascar : le plaignant se retrouve en prison pendant 5 mois et l’avocat général défend les prévenus,
– RAKOTOARISOA Lyna, meneur de grève sans préavis et déléguée de personnel chez CONNECTIC
– RANARISON Tsilavo de NEXTHOPE accuse Solo d’abus de biens sociaux alors que RANARISON a accusé lui même réception des produits envoyés par Solo

C’est pour cela qu’il a déposé une plainte avec demande d’arrestation pour abus de biens sociaux (ABS) contre son ancien associé et patron, Solo auprès du Procureur général près de la cour d’appel (PGCA) d’Antananarivo le 20 juillet 2015 dans l’espoir que Solo va abandonner sa plainte pour intrusion informatique. Le mercredi 29 juillet 2015 au matin, RANARISON Tsilavo a bien proposé le troc d’abandon de la plainte pour intrusion informatique de CONNECTIC effectués par RAHARISON Gisèle et ANDRIANARIVO ANtra contre l’abandon de la plainte pour abus des biens sociaux de RANARISON Tsilavo dans le couloir du parquet d’Anosy avant l’incarcération  pour 5 mois à Antanimora de Solo.

La plainte a été déposée par Maître Fredon Armand RATOVONDRAJAO, avocat candidat à la fonction de bâtonnier de l’ordre des avocats de Madagascar en mars 2017, pour dire que c’est une sommité de connaissance et de réseau à la Cour d’Appel d’Antananarivo et qui doit connaître les règles normales de dépôt de plainte.

Le Procureur général près de la cour d’appel (PGCA) d’Antananarivo s’est occupé personnellement en une journée, le 21 juillet 2015, de la plainte comme s’il n’a qu’à s’occuper d’une plainte pour abus de biens sociaux auprès de la Cour d’appel d’Antananarivo. D’autant plus que le traitement d’une plainte est dévolu au Procureur de la République et non au Procureur général près de la Cour d’appel.

La plainte avec demande d’arrestation est datée du lundi 20 juillet 2015, a été réceptionnée par le cabinet du Procureur général près de la cour d’appel le 21 juillet 2015 et a été transmise de suite au directeur de la police économique, qui a fait un bon de réception le 22 juillet 2015. Cette célérité du Procureur général près de la Cour d’appel d’Antananarivo est considérée comme suspecte dès le début de l’affaire par tous les habitués de la Cour d’Appel d’Antananarivo.

Un Procureur Général ne doit JAMAIS établir  un « SOIT-TRANSMIS » au Directeur de la police économique mais au Procureur de la République. (La Cour Suprême le mentionne dans son pourvoi dans l’intérêt de la loi – PIL-) du 20 septembre 2015).

Solo  a été mis en mandat de dépôt le 29 juillet 2015 à 20 heures, le jour de son départ en France.  Il ne peut que refuser le troc  d’abandon de la plainte pour intrusion informatique et écoute téléphonique effectuée par la société DATALINK dont la plupart des salariés sont des anciens grévistes de CONNECTIC  (RAHARISON Gisèle et ANDRIANARIVO Antra entre autres) qui sont maintenant chez NEXTHOPE, le spécialiste du cloud à Madagascar. Faire du cloud et de l’applicatif, nerfs de la gestion d’une entreprise en ayant un passé de salariés pris entrain d’effectuer de l’écoute téléphonique, ça ne fait pas sérieux.

Après 5 mois de détention à Antanimora ,  Solo a été condamné le 15 décembre 2015 à 2 ans de prison avec sursis et à payer 1.500.000.000 Ariary (oui c’est bien : un milliard 500 millions d’Ariary) de dommages et intérêts à RANARISON Tsilavo pour un supposé envoi de virements internationaux SANS CONTRE PARTIE qui s’élèvent à 3.663.933.565,79 Ariary (équivalent de $480.488  et 958.941 euros avant conversion) , sachant que RANARISON Tsilavo ne détient que 20 % de participation dans CONNECTIC.

La chaîne pénale de la Cour d’Appel d’Antananarivo a encore frappé fort en attribuant les dommages et intérêts à la partie civile qu’est RANARISON Tsilavo alors que en temps normal les dommages et intérêts sont dévolus à la société.

Alors qu’il sait très bien que ces virements ont servi à régler les achats effectués par CONNECTIC en France Son email daté du 25 avril 2012 est sans équivoque et le tableau récapitulatif est un fichier attaché de cet email du 25 avril 2012. Cet email a été authentifié par des huissiers tant en France qu’à Madagascar. La note manuscrite est le plumitif du procès du 15 décembre 2015 et concerne  la déclaration de RANARISON à propos des virements internationaux.

Le comble dans cette affaire d’escroquerie de bas étage est que c’est RANARISON Tsilavo lui même qui a imaginé le circuit d’envoi des virements internationaux en 2009, en pleine période de crise à Madagascar, dans un email daté plus exactement du 4 mars 2009.

 

Et qu’il est le SEUL signataire des comptes bancaires de CONNECTIC. Il n’y a que RANARISON Tsilavo qui peut signer les ordres de virement .

Et que RANARISON Tsilavo déclare lui-même urbi-orbi qu’il va établir une facture d’EMERGENT pour CONNECTIC d’une valeur de 20 000 € ayant comme libellé IOS, le fameux logiciel de CISCO dans son email du 3 mars 2009.

RANARISON Tsilavo dit qu’il va établir de suite une facture EMERGENT de IOS pour permettre à CONNECTIC d’effectuer des virements internationaux

Car RANARISON Tsilavo a passé le cynisme jusqu’à demander une attestation chez son contact Alen VENKATASAMI de CISCO SYSTEMS pour obtenir une attestation.

Pour aller plus loin : NEXTHOPE Madagascar, la société dont RANARISON Tsilavo est gérant fondateur ne peut pas être CISCO Channel partner

Sans broncher, lors du procès du 8 décembre 2015, Solo a dit devant le tribunal et consigner dans le plumitif  Teny faran’i P « Amiko dia Trophée ny nidirako amponja », POUR MOI C’EST UN TROPHEE D’ETRE EMPRISONNE. On ne peut pas être clair !

Et pour la prospérité, c’est re-transcris dans le plumitif : « AMIKO DIA ATAOKO TROPHEE NY NIDIRAKO AMPONJA »

Heureusement que la Cour Suprême de Madagascar a formé un pourvoi dans l’intérêt de la loi (PIL) pour ce dossier hors normes qui montre que Solo est totalement innocent .

NEXTHOPE, DATALINK, CONNECTIC des sociétés qui ont besoin de CISCO pour survivre et qui se fournissent tous chez un même distributeur WESTCON AFRICA COMSTOR à l’île Maurice et par un hasard malheureux CISCO est également géré à l’île Maurice.

NEXTHOPE Madagascar est l’entreprise créée par RANARISON Tsilavo ancien directeur exécutif de CONNECTIC en novembre 2012. Comme Solo son ancien patron chez CONNECTIC, il ne peut pas être partenaire CISCO car CISCO a émis un avis de ICPA Termination en novembre 2012. Comment se fait il donc que la société NEXTHOPE dont RANARISON Tsilavo se targue d’être le gérant fondateur est devenu en novembre 2012 partenaire CISCO alors qu’en novembre 2012 la société CONNECTIC a perdu ce statut par la grâce de ce ICPA Termination de CISCO ?
Sans ce statut de CISCO partenaire, CONNECTIC ne peut que perdre la plupart des contrats qui le lie aux entreprises malgaches dont  Orange Madagascar que bien sûr NEXTHOPE a récupéré depuis. Bizarre quand même que ce ICPA Termination de CISCO est parti d’une lettre de demande d’explication d’OMA (Orange Madagascar) à qui CONNECTIC a installé toutes les infrastructures MPLS jusqu’en novembre 2012.

Pour aller plus loin :
– 766 932,00 € d’envois en 2010 appuyés par des pièces officielles françaises EX1 envoyés par EMERGENT à CONNECTIC
La conversion en Ariary des montant en devises dans le dossier d’ABS de RANARISON Tsilavo contre Solo

 

DATALINK a fait des intrusions informatiques et une écoute téléphonique permanente chez CONNECTIC

En octobre 2012, la société CONNECTIC a fait l’objet de plusieurs intrusions informatiques ainsi que d’une écouté téléphonique permanente. L’adresse IP appartient à la société DATALINK d’après l’attestation du fournisseur d’accès internet BLUE LINE et le contact, d’après l’attestation du FAI BLUE LINE, est RAHARISON Gisèle ancien cadre gréviste de CONNECTIC qui est maintenant chez NEXTHOPE.

Points communs des témoins de RANARISON Tsilavo : CISCO, CONNECTIC, DATALINK, NEXTHOPE

Dans sa plainte avec demande d’arrestation du 20 juillet 2015 qui a valu un séjour de cinq mois à la prison d’Antanimora à Solo, RANARISON Tsilavo a cité deux témoins :
– RAHARISON Gisèle, gréviste et ancien responsable chez CONNECTIC, puis a travaillé chez DATALINK et est actuellement chez NEXTHOPE,
– RAKOTOARISOA Lyna, chef gréviste et account manger chez CONNECTIC, account manager chez DATALINK et NEXTHOPE.
Les trois sociétés CONNECTIC, DATALINK et NEXTHOPE ont besoin d’être partenaire CISCO pour survivre bien qu’ils peuvent vendre des produits CISCO sans être partenaire.

Solo a été en prison pendant 5 mois jusqu’au verdict le 15 décembre 2015

Solo a été bloqué en prison à Antanimora jusqu’au verdict le 15 décembre 2015 pour qu’il ne puisse pas accéder à tous les éléments de preuves. Heureusement que Solo, diplôme d’expertise comptable de formation (France, 1989) a été prévenant et déposé tous ces documents sur le cloud hébergé par GOOGLE.
Il a suffi donc à Solo de transmettre au comité de défense un nom d’utilisateur et un mot de passe pour avoir accès au preuves qui contredisent aux allégations de RANARISON Tsilavo dans sa plainte avec demande d’arrestation. C’est pour cela que RANARISON Tsilavo va tenter et a réussi à persuader la chaîne pénale acquise à sa cause qu’on peut modifier les emails. GOOGLE a répondu qu’un message GMAIL ne peut pas être modifié mais seulement transféré et détruit.

Le tribunal de première instance condamne Solo à 2 ans de prison avec sursis et 1.500.000.000 d’Ariary de dommages et intérêts sans arguments

Comme l’équipe de défense de Solo a produit toutes les preuves qui contredisent tout ce RANARISON Tsilavo affirme, le magistrat du tribunal correctionnel de première instance d’Antananarivo ne peut pas avancer d’argument valable. Et dans la logique de la procédure, ce dossier ne doit même pas être jugé car il y a une vice de procédure : le Procureur Général n’a pas à gérer  ce dossier, c’est au Procureur de la République de dire s’il y a ou non lieu à poursuivre.

La Cour d’Appel d’Antananarivo confirme le jugement malgré une demande de dessaisissement de Cour demandée par Solo

Tout le monde est d’accord que ça ne tourne pas rond à la Cour d’Appel d’Antananarivo pour ce dossier avec le le Procureur Général près de la Cour d’Appel qui traite lui même un dossier alors que ça n’entre pas dans sa prérogative. L’équipe de défense de Solo a déposé un dessaisissement d’une Cour à une autre auprès de la Cour de Cassation mais la Cour d’Appel a fait fi de cette demande dûment constitué et a tenu une audience boycottée par l’équipe de défense de Solo ; à quoi bon être présent à une parodie de justice.
A la différence du jugement de première instance, les magistrats ont trouvé un argument farfelu

Vente immobilière des biens immobiliers de Solo et envoi du jugement à toutes les banques à Madagascar par RANARISON Tsilavo

Pour faire une ample publicité de l’affaire, RANARISON Tsilavo a envoyé à toutes les banques de Madagascar par voie d’huissier une copie du jugement condamnant Solo à 2 ans de prison avec sursis et à 1.500.000.000 d’Ariary de dommages et intérêts,. Vous avez bien lu c’est bien1 milliard 500 millions d’Ariary alors que RANARISON Tsilavo ne détient que 20 % des parts chez CONNECTIC et que le montant supposé du détournement est de 3.660.000.000 d’Ariary. En temes de retour d’investissement, on peut pas trouver mieux.
Le but de RANARISON Tsilavo en programmant la vente aux enchères pour le 21 septembre 2016 est de faire perdre à jamais les biens immobiliers de Solo car ce qui est vendu aux enchères est perdu à jamais. A l’issue de la vente à la criée, il a peut être programmé d’envoyer un huissier et l’EMMO-REG pour expulser les salariés de CONNECTIC dans les locaux utilisés.

Le Procureur Général près de la Cour Suprême siffle la fin de cette parodie de justice en faisant une requête de pourvoi dans l’intérêt de la loi (PIL)

Le 20 septembre 2016, grâce à une mobilisation sans précédent du comité de soutien de Solo sur proposition du Ministre de la justice, Charles ANDRIAMISEZA, le Procureur Général près de la Cour Suprême a fait une requête de pourvoi dans l’intérêt de la loi (PIL).
Cette requête est très importante car dans les attendus, elle donne raison aux arguments et preuves que nous avons avons montré en vain au Tribunal correctionnel et à la Cour d’Appel d’Antananarivo.

On va pouvoir avoir des attestations à CISCO et aux commissaires aux comptes

Avec cette requêtre du pourvoi dans l’intérêt de loi on va pouvoir demander des attesatations à CISCO at au commissaire aux comptes. Ils ne peuvent plus se réfugier dans la neutralité alors que CISCO  a établi une attestation que RANARISON Tsilavo, ancien directeur exécutif de CONNECTIC jusqu’en septembre 2012, gérant  fondateur de NEXTHOPE depuis novembre 2012.

Tout est parti d’une plainte avec demande d’arrestation déposée par Maître Freudon Armand RATOVONDRAJAO agissant au nom de RANARISON Tsilavo Tsiriniaina, ancien Directeur exécutif de la société ConnecTIC jusqu’au mois de septembre 2012 et Gérant fondateur de la société NEXTHOPE depuis novembre 2012,   le 20 juillet 2015 chez le Procureur Général de la Cour d’Appel d’Antananarivo (PGCA)   plainte-1-ranarisonplainte-2-ranarisonplainte-3-ranarisonLa version PDF optimisée  de la plainte pour une large diffusion est la suivante plainte-ranarisontsilavo.

La demande a été traitée par le Procureur Général de la Cour d’Appel d’Antananarivo et transmis u Directeur de la police économique dès le lendemain, le 21 juillet 2015 pour enquête et déferrement.soit-transmis-pgca

L’investisseur cible de la spoliation, Solo,  a été mis en mandat de dépôt à Antananimora dès le mercredi 29 juillet 2015 à 20 heures pour n’en sortir que le mardi 15 décembre 2015, soit cinq mois après. Il a été condamné à 2 ans de prison de sursis et 1.500.000.000Ariary de dommages et intérêts à payer à RANARISON Tsilavo Tsiriniaina par le Tribunal de première instance et la Cour d’Appel d’Antananarivo.

L’investisseur cible de la spoliation a déposé une plainte pour intrusion informatique à la fin de l’année 2012, l’enquête n’a été bouclée qu’au mois d’octobre 2013. Comme quoi, la justice à Madagascar adopte une vitesse variable selon les dossiers.

 

Contact : infos@madagasikara.net

Le rapport du commissaire aux comptes

 

 La spoliation d’un investisseur franco-malgache par les magistrats malgaches

Le jugement du tribunal correctionnel du 15 décembre 2015 est sans motivation, se contentant de dire « Il résulte preuve suffisante contre le prévenu Solo d’avoir commis le délit d’abus de confiance à lui reprocher ». Que dire de plus ?

La victime directe et personnelle de l’abus des biens sociaux est la société CONNECTIC et non RANARISON Tsilavo, simple associé : L’article 6 du code de procédure pénale malgache ainsi que l’article 181 de loi sur les sociétés commerciales à Madagascar sont clairs.

Les preuves que la justice malgache a été manipulée par RANARISON Tsilavo pour faire condamner Solo, son patron, à 2 ans de prison avec sursis et 428.492 euros d’intérêts civils à régler à RANARISON Tsilavo, un simple associé, alors que c’est la société CONNECTIC qui est la victime directe et personnelle

RANARISON Tsilavo a perdu son référé auprès du Tribunal de Grande Instance d’Evry (France) pour diffamation pour interdire la publication sur différents sites de l’état de la Justice à Madagascar avec RANARISON tsilavo en toile de fond 

Les mensonges de RANARISON Tsilavo prouvées par des preuves écrites

Les jugements rendus par les magistrats malgaches violant la loi au bénéfice de RANARISON Tsilavo

Les virements de 1.047.060 euros, objet de la plainte pour abus de biens sociaux de RANARISON Tsilavo, tous les ordres de virement signés par RANARISON Tsilavo, ont une contrepartie de 1.321.125 USD et 297.032 EUROS de matériels reçus par CONNECTIC d’après l’email du 25 avril 2012 de RANARISON Tsilavo lui-même

Les factures d’achat d’équipements CISCO auprès du revendeur WESTCON Africa, revendeur agréé CISCO, ainsi que les échanges de correspondance par la société française EMERGENT NETWORK d’après un schéma de travail tripartite (CONNECTIC – WESTCON AFRICA – EMERGENT NETWORK )établi par RANARISON tsilavo lui-même en mars 2009. RANARISON Tsilavo a lui même établi une facture d’IOS (logiciciel de CISCO) de 20.000 euros en mars 2009

Les douanes françaises ont constaté que la société EMERGENT NETWORK a envoyé à la société CONNECTIC pour 1.415.430 euros de matériels.

La victime directe et personnelle de l’abus des biens sociaux est la société CONNECTIC et non RANARISON Tsilavo, simple associé : L’article 6 du code de procédure pénale malgache ainsi que l’article 181 de loi sur les sociétés commerciales à Madagascar sont clairs.

L’arrêt de la Cour d’appel d’Antananarivo a violé l’article 2 du code de la concurrence et l’article 1598 du code civil malgache. Il a également traduit de travers une attestation pourtant claire de la société CISCO.

Le jugement du tribunal correctionnel du 15 décembre 2015 est sans motivation, se contentant de dire « Il résulte preuve suffisante contre le prévenu Solo d’avoir commis le délit d’abus de confiance à lui reprocher ». Que dire de plus ?

L’intérêt civil est dû au victime direct et personnel de l’infraction, la société CONNECTIC, et non à un simple associé : L’article 6 du code de procédure pénale malgache ainsi que l’article 181 de loi sur les sociétés commerciales à Madagascar sont clairs.

Le pouvoir souverain des juges du fond est applicable à condition que les décisions soient motivées et s’appuyent sur une base légale. Et comme le jugement du tribunal correctionnel est sans motivation tour en violant les lois malgaches tandis que l’arrêt de la Cour d’appel ne fait que violer la loi dans motivation.

Le jugement du tribunal de commerce du 27 mars 2019 présidée par RAKOTOARILALAINA Annick Rosa fait référence à l’article 301 de la LTGO concernant l’autorité de la chose jugée alors que c’est la première fois que RANARISON Tsilavo et la société CONNECTIC a affaire à la justice

RANARISON Tsilavo a signé la totalité des 76 virements de la société CONNECTIC vers la société française EMERGENT que RANARISON Tsilavo considère comme sans contrepartie dans sa plainte pour abus des biens sociaux contre son patron Solo

Un matériel de la société CISCO peut être revendu librement contrairement à la plainte de RANARISON Tsilavo et à la motivation des Cours à Madagascar. Car l’article 2 de la loi sur sur la concurrence ainsi que le contenu du site web de la société CISCO sont sans équivoque

On ne peut pas modifier un message qui a été envoyé par la messagerie GMAIL de GOOGLE contrairement aux mensonges de RANARISON Tsilavo auprès de la chaîne pénale malgache

 

EMERGENT a acheté des matériels CISCO chez WESTCON AFRICA COMSTOR pour le compte de CONNECTIC

Cisco est un équipement mondialement connu qui a comme distributeur Westcon, dans notre cas Westcon Africa ou COMSTOR.

On peut acheter un produit de marque Cisco chez Westcon Africa que vous soyez ou non revendeur agréé ou non de la société Cisco.

 

L’ARRET N°500 DU 13 MAI 2016 rendu par la Cour d’Appel d’Antananarivo est comme suit :

Attendu que le prévenu a nié les faits lors des enquêtes et soutient que c’est la partie civile RANARISON Tsiriniaina Tsilavo qui a signé tous les ordres de virement de « la société malgache » vers « la société française » ;

Qu’il soutient en outre que la partie civiles connait bien l’existence de la société française et que les virements effectués sont destinés à l’achat des marchandises et produits pour la société malgache.

Attendu cependant que tout d’abord la société française est une entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée administrée par le prévenu, selon l’extrait du registre de commerce français

Qu’ensuite les contreparties commerciales des virements effectués ne sont pas bien définies, sinon par le paiement des logiciels CISCO, or, il résulte de la pièce 8 du dossier, cote 236, que la société CISCO a nié l’existence de la société française comme partenaire commercial autorisé à distribuer ses produits.

Qu’ainsi, les factures établies par la société française sur la base des produits CISCO sont réputées fausses.

C’est clair et net sur ce jugement que compte tenu que la société CISCO a nié l’existence de la société française  de l’investisseur cible de la spoliation comme partenaire autorisé à distribuer ses produits qu’il a été condamné.

On a 70 factures émises par la société Westcon Africa – Comstor avec intégralement des produits de marque Cisco.

Pour 2009, Westcon Africa – Comstor a émis six factures d’un montant global de $209.883,76 à la société française (invoice address), c’est écrit sur les factures que l’adresse de livraison (shipping address) est Connectic Madagascar C/O Midex – Orly fret 835 – Zone Juliette, 128 F 94549 Orly Aerogare Cedex – France detailed-recapitulation-2009-c. On demande à la société Westcon Africa – Comstor, distributeur des produits Cisco de certifier les six factures detailed-recapitulation-2009-c. On a une réponse laconique du Directeur Territorial, que WESTCON Africa – Comstor n’a pas les enregistrements des factures qu’on a émises et que WESTCON Africa – Comstor n’a pas une obligation légale de les archiver. reponse-westcon-faizal-7-juillet-2016-c

reponse-westcon-faizal-7-juillet-2016-c

Que voulez-vous faire ? On ne va pas tout de même forcer cette grande société d’authentifier les factures qu’elle a émises. Il y a bien les emails envoyés qui appuient l’émission de ces factures.  Pour 2009, il y a bien 6 factures qui ont émises qui totalisent 209.883,76 USD émises par WESTCON Africa pour des produits CISCO envoyés à Madagascar facturés à la société française factures-westcon-comstor-2009

Pour 2009, le Credit Controler de WESTCON AFRICA COMSTOR Revendeur des produits Cisco à Madagascar a même envoyé  un email au début de l’année 2010 qui certifie l’authenticité des 6 factures émises par WESTCON AFRICA COMSTOR Revendeur des produits Cisco à Madagascar . westcon-comstor-viral-shah-2009

Malgré tous les documents présentés et les emails, WESTCON AFRICA COMSTOR n’a pas fait l’attestation demandée qui a valu a « Dear Solo » 5 (cinq) mois de mandat de dépôt à Antanimora et 1.500.000.000 Ariary de dommages et intérêts à payer à RANARISON Tsilavo Tsiriniaina, ancien directeur exécutif de CONNECTIC jusqu’au mois de septembre 2012, et gérant fondateur de NEXTHOPE depuis le mois de novembre 2012, les deux entreprises sont les clients de WESTCON AFRICA COMSTOR.

Au temps voulu, les activistes inonderont les réseaux sociaux du monde entier de cette information.

La demande est simple que CISCO et WESTCON AFRICA COMSTOR reconnaissent ques des produits expédiés à CONNECTIC Madagascar ont été achetés en France.

Quel est le contenu du rapport du commissaire aux comptes à Madagascar ?

RANARISON Tsilavo , ancien Directeur exécutif de CONNECTIC jusqu’au mois de septembre 2012, gérant fondateur de NEXTHOPE Madagascar entreprise qui fait le même métier que CONNECTIC depuis, fait mention dans sa plainte avec demande d’arrestation d’un rapport du commissaire aux comptes pour les comptes annuels exercice 2011 déposé en 2012. Il ne peut pas avoir plusieurs rapports de commissaire aux comptes sur un même exercice et le rapport en question doit être normé et faire l’objet d’une sauvegarde pour qu’on puisse le sortir lors d’une éventuelle demande. Madagascar a accueilli le congrès de la Fédération internationale  des experts comptables et des commissaires aux comptes francophones (FIDEF) en octobre 2016, et a donc des réglémentations calquées au monde francophone pour ne pas dire internationale (IFAC).

Les fausses allégations et les faux témoignages

La plainte de RANARISON Tsilavo gérant fondateur de NEXTHOPE est basée sur des faux témoignages (plainte, enquête policière et procès du 8 décembre 2015 ) et du faux intellectuel. Un avocat peut mentir devant le tribunal alors qu’un témoin ne peut pas le faire. RANARISON Tsilavo maîtrise très bien la cour d’appel d’Antananarivo, mais la vérité comme les écrits sont immuables et inscrits dans le marbre.

Le délai de prescription est de 3 années, puisque ce sont des délits pénaux.

Le délit est consommé car les pièces fausses étaient versées au débat lors de l’audience correctionnelle.

On a compris qu’un plaignant peut dire tout ce qu’il veut dire dans une plainte ou lors de l’interrogatoire et c’est au juge d’instruction de faire le recoupement. Un plaignant ne sera jamais poursuivi pour faux témoignages s’il gagne un procès. Il pourra être poursuivi s’il perd un procès pour dénonciation calomnieuse.

Un témoin par contre doit dire la vérité et rien que la vérité sinon il pourra être poursuivi pour faux témoignage.

Quand les escrocs du jugement doivent rendre comptes ou le délit d’escroquerie au jugement.

– mardi 29 octobre 2013

La liberté d’ester en justice ou d’aller en justice est un droit, dont dispose tout justiciable, qui doit rester limité par la notion d’abus de droit dans l’action.

La fraude, liée par la volonté de tromper doit être sanctionnée.

Le fautif, s’expose outre à une amende civile et des dommages et intérêts pour procédure abusive, mais aussi sa duperie des juges provoquée par ses manœuvres sont constitutives d’un délit pénal du ressort du Tribunal correctionnel.

C’est le délit d’escroquerie au jugement, dont les contours ont été fixés par la jurisprudence, qui suppose que l’auteur trompe son juge, ou tout homme de loi dans le but d’obtenir une décision ou un titre qui portera atteinte à la fortune de la personne condamnée.

L’analyse des manœuvres déterminantes est un élément essentiel à la fois dans la volonté et la commission du délit.

I- La définition de l’élément matériel et moral du délit pénal et les Tribunaux

L’article 313-1 du Code pénal dispose :

« L’escroquerie est le fait, soit par l’usage d’un faux nom ou d’une fausse qualité, soit par l’abus d’une qualité vraie, soit par l’emploi de manœuvres frauduleuses, de tromper une personne physique ou morale et de la déterminer ainsi, à son préjudice ou au préjudice d’un tiers, à remettre des fonds, des valeurs ou un bien quelconque, à fournir un service ou à consentir un acte opérant obligation ou décharge. L’escroquerie est punie de cinq ans d’emprisonnement et de 375 000 euros d’amende.  »

La peine et l’amende pourront être majorées dans certaines circonstances aggravantes visées par l’article L 313-2 du Code pénal (ex bande organisée…), étant rappelé que la tentative est punie des même peines que l’action aboutie.

Le principe posé, il faut rappeler que : si toute action en justice est un droit, des limites sont posés à la fois dans l’abus de l’action, mais aussi dans sa fraude.

L’abus de droit « d’ester en Justice », fautif peut être sanctionné par une amende civile et des dommages et intérêt contre le demandeur. (Il s’agit ici d’une action judiciaire, intentée de mauvaise foi, sachant qu’elle est vouée à l’échec ou pour nuire à l’adversaire. De la même façon en cas de plainte avec constitution de partie civile, d’appel ou de pourvoi en cassation jugés dilatoires ou abusifs)

La duperie et la tromperie des juges provoquée par des manœuvres déterminantes constitueront le délit pénal d’escroquerie au jugement.

Toute production d’une pièce fausse, destinée à obtenir une décision qui portera atteinte au patrimoine d’autrui, ou l’omission dans une déclaration pourront être prises en compte.

« L’escroquerie au jugement » tient dans le fait de tromper la religion du juge dans le but d’obtenir un titre avec lequel le demandeur pourra porter atteinte à la fortune de la personne condamnée, de vouloir obtenir en fraude des droits d’autrui une décision de Justice.

La Cour de cassation a précisé les contours de la notion d’élément matériel.

A partir du moment où une action en justice n’est que l’exercice d’un droit, il ne suffira pas pour que ce délit soit constitué, que le plaideur formule des allégations mensongères, mêmes répétitives. Il faudra qu’il les accompagne d’éléments extérieurs.

Le principe posé, il faut rappeler que : si toute action en justice est un droit, des limites sont posés à la fois dans l’abus de l’action, mais aussi dans sa fraude.

La tentative d’escroquerie est toute aussi délictueuse. Crim, 3 juin 2004, pourvoi N° 03-87.486

A) L’élément matériel : des manœuvres frauduleuses destinées à tromper la religion du juge

1°- La notion de juge doit s’entendre au sens large

Il peut s’agir d’un juge ou d’un tribunal, mais aussi d’un arbitre ( affaire Tapie ?) Crim, 30 juin 2004, pourvoi No 03-85019

Une commission : ex une commission d’indemnisation des victimes d’infractions pénales ; Crim, 9 janvier 2008, pourvoi No 06-87999.

Un expert chargé de rendre un rapport au Tribunal.

Un huissier pour lui faire rédiger un constat qui, relate en fait une pure mise en scène : Crim., 14 novembre 1979, pourvoi N° 79-90.407.

2°-L’usage de moyens frauduleux

Crim, 23 janvier 1919, (Bull. n° 21) « Le délit de tentative d’escroquerie au jugement est caractérisé par des manœuvres frauduleuses visant à tromper le juge dans l’exercice de sa fonction… »

Crim, 8 novembre 1962, (Bull. crim, no 312 ). « Le jugement en tant que titre exécutoire emporte obligation ou décharge. Son obtention par l’usage de moyens frauduleux relève de la qualification d’escroquerie. »

Crim, 22 mai 1968, pourvoi N° 67-92.782 Crim, 7 janvier 1970 pourvoi N° 69-90.114 Crim, 12 mai 1970, pourvoi N° 69-90.026

« Si l’exercice d’une action en justice constitue un droit, sa mise en œuvre peut constituer une manœuvre frauduleuse caractérisant le délit d’escroquerie. »

3°- Les moyens matériels utilisés

Le faux sous toutes ses formes

La production de fausses attestations, de faux documents, un jugement tronqué ou caduque, une fausse comptabilité, un faux constat ou une fausse traduction pourront favoriser la duperie.

Exemple une fausse promesse de bail Crim, 19 novembre 2003, pourvoi N° 02-87580, un faux contrat de travail ; Crim., 30 novembre 1995, pourvoi N° 94-84.612 :une fausse facture Cass. Crim, 19 septembre 1995, pourvoi N° 94-85353,

Crim, 12 mai 1970, pourvoi No 69-90026 et Crim, 24 juin 1970 pourvoi N° 69-93.217

« On ne saurait voir une manœuvre frauduleuse, … dans la production, à l’appui d’une action en justice, d’une pièce dont le juge civil a précisément pour mission de déterminer le sens exact et la valeur probante  ».

Crim, 26 mars 1998 pourvoi N° 96-85.636

« Constitue une tentative d’escroquerie le fait pour une partie de présenter sciemment en justice un document mensonger destiné à tromper la religion du juge et susceptible, si la machination n’est pas déjouée, de faire rendre une décision de nature à préjudicier aux intérêts de l’adversaire.  » voir aussi Crim, 14 mars 1972 pourvoi N° 71-91.077

Des déclarations mensongères, même répétitives, ne suffiront pas pour constituer le délit d’escroquerie lorsqu’elles ne sont pas accompagnées d’un fait extérieur ou d’un agissement quelconque destiné à y faire ajouter foi.

La fausse attestation Crim, 4 janvier 2005, pourvoi No 04-82715 ; Les faux témoignages mis en scène Crim, 3 novembre 1978, pourvoi N° 78-91144

L’altération d’une vérité déformée

Ex une décision de justice caduque après cassation, sans production de l’arrêt de renvoi de la cour d’appel qui déboute le demandeur de toute créance. Crim, 4 mars 1991, pourvoi N° 90-80321

Ex Crim, 7 avril 1992 N° pourvoi 91-84.189

Condamnation d’un époux qui, sans présenter de faux documents, avait produit des pièces qui donnaient une image inexacte de sa situation réelle (ici des feuilles de salaires qui ne mentionnaient pas des indemnités de déplacement reçues par ailleurs).

Les éléments extérieurs : manœuvres, fausse qualité, faux document, mise en scène…

Doivent être provoqués de mauvaise foi, par l’intervention et l’utilisation de l’appareil judiciaire dans l’obtention d’une décision en vue de la spoliation de l’adversaire. Crim, 20 avril 2005, N° de pourvoi : 04-84828

Les circonstances de fait seront appréciées souverainement. Il faudra démontrer la fausseté des documents allégués par exemple.

N’oublions pas les dispositions de

l’article 259-3 du Code civil :

Les époux doivent se communiquer et communiquer au juge ainsi qu’aux experts et aux autres personnes désignées par lui en application des 9° et 10° de l’article 255, tous renseignements et documents utiles pour fixer les prestations et pensions et liquider le régime matrimonial. Le juge peut faire procéder à toutes recherches utiles auprès des débiteurs ou de ceux qui détiennent des valeurs pour le compte des époux sans que le secret professionnel puisse être opposé.

l’article 272 du Code civil :

« Dans le cadre de la fixation d’une prestation compensatoire, par le juge ou par les parties, ou à l’occasion d’une demande de révision, les parties fournissent au juge une déclaration certifiant sur l’honneur l’exactitude de leurs ressources, revenus, patrimoine et conditions de vie »

La production d’une fausse attestation obligatoire aux débats sera un élément à considérer, si elle a emporté ou faussé la conviction du juge.

Petite nuance à préciser : Si la juridiction avait été avertie dès le début de la procédure de divorce de la possibilité pour un époux de percevoir outre son salaire, des indemnités de déplacement, et si l’épouse avait eu la possibilité de solliciter la production de tous les relevés de salaires pour la détermination des ressources de son époux, alors le délit ne peut pas être retenu.

Crim., 4 janvier 2005, pourvoi No 04-82715

Crim, 22 février 1996, pourvoi n° 95-81.627.

La déclaration d’un sinistre à une compagnie d’assurance, accompagnée d’un certificat de dépôt de plainte pour vol, destiné à donner force et crédit à la réalité de ce vol, caractérise le commencement d’exécution d’une tentative d’escroquerie.

B) L’élément moral et la mise en œuvre de l’action : l’intention frauduleuse

L’intention coupable, sans laquelle n’y a pas infraction, tient dans le fait que le l’une des parties, en parfaite connaissance de cause, a commis les manœuvres frauduleuses dans le dessein de tromper les magistrats et d’y aboutir. Sinon, il s’agirait de tentative.

C’est la mauvaise foi, la malhonnêteté, l’intention de nuire.

C) La mise en œuvre de l’action publique

Une plainte devra être adressée par RAR au procureur de la république près le tribunal de grande instance compétent, ou déposée au commissariat pour escroquerie en demandant réparation du préjudice qui a été causé.

La victime pourra se constituer partie civile jusqu’à l’audience pénale afin de formuler une demande de dommages et intérêts, en réparation du préjudice financier et du préjudice moral causé.

La Cour de cassation considère que l’escroquerie au jugement sera consommée au jour où la décision obtenue frauduleusement est devenue exécutoire.

Crim, 3 novembre 2011, pourvoi N° 10-87.945

« Le point de départ de la prescription de l’escroquerie au jugement est fixé au jour où est rendue une décision irrévocable dès lors que le faux destiné à tromper la religion du juge civil a été produit également en appel ; qu’en retenant la seule date du jugement pour point de départ de la prescription de l’action publique motif pris de ce qu’il était assorti de l’exécution provisoire, la cour d’appel a violé les articles susvisés. »

Même sens Crim. 17 octobre 2007, pourvoi N°07-82.674 Crim, 30 juin 2004 pourvoi N° 03-85.019

C’est donc à cette date que doit être fixé le point de départ du délai de prescription de 3 ans, s’agissant d’un délit. Parfois elle sera ajoutée à d’autres délits : faux et usage de faux document, et/ou faux témoignage.

Ainsi, entre les plaintes pour faux et usages de faux documents, faux témoignages, y compris par omission ou escroquerie au jugement, les risques d’amendes civiles liées aux abus judiciaires, les justiciables feront bien de respecter des conseils de prudence, puisqu’au delà du risque, il y a la sanction…

II- La poursuite civile

A) L’indemnisation sur le plan civil

Une demande de dommages-intérêts pour réparer le préjudice causé par le mensonge peut être sollicitée soit par voie de constitution de partie civile ( action pénale) soit devant le juge civil en fonction du montant de la demande.

B) Le recours en révision

Un délai de 2 mois court à compter du jour où la partie a eu connaissance d’une cause de révision pour déposer un recours en révision.

L’article 595 du NCPC permet d’envisager un recours en révision dans des cas particuliers
Le recours en révision n’est ouvert que pour l’une des causes suivantes :

1. S’il se révèle, après le jugement, que la décision a été surprise par la fraude de la partie au profit de laquelle elle a été rendue.

2. Si, depuis le jugement, il a été recouvré des pièces décisives qui avaient été retenues par le fait d’une autre partie.

3. S’il a été jugé sur des pièces reconnues ou judiciairement déclarées fausses depuis le jugement.

4. S’il a été jugé sur des attestations, témoignages ou serments judiciairement déclarés faux depuis le jugement.

Dans tous ces cas, le recours n’est recevable que si son auteur n’a pu, sans faute de sa part, faire valoir la cause qu’il invoque avant que la décision ne soit passée en force de chose jugée.

En savoir plus sur http://www.village-justice.com/articles/quand-escrocs-jugement-doivent-rendre,15469.html#lRI02maVgKXzoHZR.99

Les textes des lois applicables à Madagascar

 

Attendu qu’il est de jurisprudence constante que les Cours et Tribunaux malagasy peuvent recourir aux dispositions du Code Civil Français lorsque la loi malgache ne prévoit pas le cas soumis à leur examen ou que les textes du Code Civil soient plus explicites ;

Cour Suprême
Chambre Civile, Sociale et Commerciale Décision n° 088 du 04 mai 2007
Numéro de rôle : 37 /03-CO

 

  1. Loi N° 2004-036 du 1er octobre 2004 relative à l’organisation, aux attributions, au fonctionnement et à la procédure applicable devant la Cour Suprême et les trois Cours la composant (JO n°2939 du 8 novembre 2004)
  2. Code pénal malgache
  3. Code de procédure pénale malgache
  4. Loi 2003-036 sur les sociétés commerciales à Madagascar
  5. Loi 2005-020 sur la concurrence à Madagascar
  6. La Loi sur théorie générale des obligations (LTGO)

 

 

Le rappel des textes des lois applicables à Madagascar permettra aux juristes, aux étudiants de droit à tout à chacun de juger par eux même cette injustice qui s’abat sur Solo, un investisseur franco-malgache.

RANARISON Tsilavo a gagné ses procès contre son patron Solo grâce à des décisions de justice qui violent les lois malgaches .

 

Dans l’affaire RANARISON Tsilavo contre Solo, les magistrats malgaches ont violé les lois applicables à Madagascar qui sont contenus déjà dans les textes de lois puis dans les jurisprudence :

  1. Le jugement du tribunal correctionnel d’Antananarivo du 15 décembre 2015 est sans motivation « Il résulte de preuve suffisante contre le prevenu ». Ce même tribunal correctionnel, présidé par RAMBELO Volatsinana, attribue des intérêts civils à RANARISON Tsilavo, simple associé, alors que la victime directe et personnelle d’une éventuelle abus des biens sociaux est la société CONNECTIC. Ce jugement ne peut être que frappé de nullité par la cour d’appel et la cour de cassation.
  2. L’arrêt de la Cour d’appel d’Antananarivo du 13 mai 2016, présidé par RANDRIARIMALALA Herinavalona,
    1. Viole carrément l’article 2 de la loi 2005-020 sur la concurrence à Madagascar en motivant que la société française EMERGENT NETWORK ne peut pas commercialiser des produits CISCO SYSTEMS à Madagascar en se basant sur une attestation produite par le plaignant, RANARISON Tsilavo.
      La chaîne pénale malgache a entre les mains tous les documents attestant que la société CONNECTIC a bien reçu des équipements CISCO de la part de la société EMERGENT NETWORK,
    2. Viole l’article 6 du code de la procédure pénale malgache et l’article 181 de la loi sur les sociétés commerciales à Madagascar en acceptant que RANARISON Tsilavo, simple associé , peut être partie civile et surtout en attribuant les intérêts civils à ce simple associé qu’est RANARISON Tsilavo.
      Les intérêts civils dans les affaires d’abus des biens sociaux reviennent à la société qui est la victime directe et personnelle de l’infraction
  3. Malgré tous les cas de violation de la loi, la cour de cassation malgache dans son arrêt du 24 mars 2017
    1. Trouve normal que les intérêts civils sont attribués à un simple associé, RANARISON Tsilavo,
    2. Trouve normal qu’à Madagascar malgré l’article 2 de la loi sur le concurrence à Madagascar, tout le monde ne peut pas commercialiser des produits CISCO SYSTEMS
  4. L’arrêt du tribunal du commerce d’Antananarivo du 21 mars sur une affaire opposant la société CONNECTIC à RANARISON Tsilavo dépasse l’entendement. C’est la première fois que la société CONNECTIC et RANARISON Tsilavo ont affaire à la justice mais le magistrat malgache , Annick Rosa RAKOTOARILALAINA n’hésite pas à se référer au jugement du tribunal correctionnel d’Antananarivo qui fait référence à Sieur RANARISON Tsilavo contre Sieur Solo en évoquant 301 ET 301 de la Loi sur la théorie générale des organisations (LTGO)

 

 La spoliation d’un investisseur franco-malgache par les magistrats malgaches

Le jugement du tribunal correctionnel du 15 décembre 2015 est sans motivation, se contentant de dire « Il résulte preuve suffisante contre le prévenu Solo d’avoir commis le délit d’abus de confiance à lui reprocher ». Que dire de plus ?

La victime directe et personnelle de l’abus des biens sociaux est la société CONNECTIC et non RANARISON Tsilavo, simple associé : L’article 6 du code de procédure pénale malgache ainsi que l’article 181 de loi sur les sociétés commerciales à Madagascar sont clairs.

Les preuves que la justice malgache a été manipulée par RANARISON Tsilavo pour faire condamner Solo, son patron, à 2 ans de prison avec sursis et 428.492 euros d’intérêts civils à régler à RANARISON Tsilavo, un simple associé, alors que c’est la société CONNECTIC qui est la victime directe et personnelle

RANARISON Tsilavo a perdu son référé auprès du Tribunal de Grande Instance d’Evry (France) pour diffamation pour interdire la publication sur différents sites de l’état de la Justice à Madagascar avec RANARISON tsilavo en toile de fond 

Les mensonges de RANARISON Tsilavo prouvées par des preuves écrites

Les jugements rendus par les magistrats malgaches violant la loi au bénéfice de RANARISON Tsilavo

Les virements de 1.047.060 euros, objet de la plainte pour abus de biens sociaux de RANARISON Tsilavo, tous les ordres de virement signés par RANARISON Tsilavo, ont une contrepartie de 1.321.125 USD et 297.032 EUROS de matériels reçus par CONNECTIC d’après l’email du 25 avril 2012 de RANARISON Tsilavo lui-même

Les factures d’achat d’équipements CISCO auprès du revendeur WESTCON Africa, revendeur agréé CISCO, ainsi que les échanges de correspondance par la société française EMERGENT NETWORK d’après un schéma de travail tripartite (CONNECTIC – WESTCON AFRICA – EMERGENT NETWORK )établi par RANARISON tsilavo lui-même en mars 2009. RANARISON Tsilavo a lui même établi une facture d’IOS (logiciciel de CISCO) de 20.000 euros en mars 2009

Les douanes françaises ont constaté que la société EMERGENT NETWORK a envoyé à la société CONNECTIC pour 1.415.430 euros de matériels.

La victime directe et personnelle de l’abus des biens sociaux est la société CONNECTIC et non RANARISON Tsilavo, simple associé : L’article 6 du code de procédure pénale malgache ainsi que l’article 181 de loi sur les sociétés commerciales à Madagascar sont clairs.

L’arrêt de la Cour d’appel d’Antananarivo a violé l’article 2 du code de la concurrence et l’article 1598 du code civil malgache. Il a également traduit de travers une attestation pourtant claire de la société CISCO.

Le jugement du tribunal correctionnel du 15 décembre 2015 est sans motivation, se contentant de dire « Il résulte preuve suffisante contre le prévenu Solo d’avoir commis le délit d’abus de confiance à lui reprocher ». Que dire de plus ?

L’intérêt civil est dû au victime direct et personnel de l’infraction, la société CONNECTIC, et non à un simple associé : L’article 6 du code de procédure pénale malgache ainsi que l’article 181 de loi sur les sociétés commerciales à Madagascar sont clairs.

Le pouvoir souverain des juges du fond est applicable à condition que les décisions soient motivées et s’appuyent sur une base légale. Et comme le jugement du tribunal correctionnel est sans motivation tour en violant les lois malgaches tandis que l’arrêt de la Cour d’appel ne fait que violer la loi dans motivation.

Le jugement du tribunal de commerce du 27 mars 2019 présidée par RAKOTOARILALAINA Annick Rosa fait référence à l’article 301 de la LTGO concernant l’autorité de la chose jugée alors que c’est la première fois que RANARISON Tsilavo et la société CONNECTIC a affaire à la justice

RANARISON Tsilavo a signé la totalité des 76 virements de la société CONNECTIC vers la société française EMERGENT que RANARISON Tsilavo considère comme sans contrepartie dans sa plainte pour abus des biens sociaux contre son patron Solo

Un matériel de la société CISCO peut être revendu librement contrairement à la plainte de RANARISON Tsilavo et à la motivation des Cours à Madagascar. Car l’article 2 de la loi sur sur la concurrence ainsi que le contenu du site web de la société CISCO sont sans équivoque

On ne peut pas modifier un message qui a été envoyé par la messagerie GMAIL de GOOGLE contrairement aux mensonges de RANARISON Tsilavo auprès de la chaîne pénale malgache

 

Textes de loi malgaches que les magistrats malgaches ont violé pour spolier Solo

Les textes des lois applicables à Madagascar

 

Attendu qu’il est de jurisprudence constante que les Cours et Tribunaux malagasy peuvent recourir aux dispositions du Code Civil Français lorsque la loi malgache ne prévoit pas le cas soumis à leur examen ou que les textes du Code Civil soient plus explicites ;

Cour Suprême
Chambre Civile, Sociale et Commerciale Décision n° 088 du 04 mai 2007
Numéro de rôle : 37 /03-CO

 

  1. Loi N° 2004-036 du 1er octobre 2004 relative à l’organisation, aux attributions, au fonctionnement et à la procédure applicable devant la Cour Suprême et les trois Cours la composant (JO n°2939 du 8 novembre 2004)
  2. Code pénal malgache
  3. Code de procédure pénale malgache
  4. Loi 2003-036 sur les sociétés commerciales à Madagascar
  5. Loi 2005-020 sur la concurrence à Madagascar
  6. La Loi sur théorie générale des obligations (LTGO)

 

 

Le rappel des textes des lois applicables à Madagascar permettra aux juristes, aux étudiants de droit à tout à chacun de juger par eux même cette injustice qui s’abat sur Solo, un investisseur franco-malgache.

RANARISON Tsilavo a gagné ses procès contre son patron Solo grâce à des décisions de justice qui violent les lois malgaches .

 

Dans l’affaire RANARISON Tsilavo contre Solo, les magistrats malgaches ont violé les lois applicables à Madagascar qui sont contenus déjà dans les textes de lois puis dans les jurisprudence :

  1. Le jugement du tribunal correctionnel d’Antananarivo du 15 décembre 2015 est sans motivation « Il résulte de preuve suffisante contre le prevenu ». Ce même tribunal correctionnel, présidé par RAMBELO Volatsinana, attribue des intérêts civils à RANARISON Tsilavo, simple associé, alors que la victime directe et personnelle d’une éventuelle abus des biens sociaux est la société CONNECTIC. Ce jugement ne peut être que frappé de nullité par la cour d’appel et la cour de cassation.
  2. L’arrêt de la Cour d’appel d’Antananarivo du 13 mai 2016, présidé par RANDRIARIMALALA Herinavalona,
    1. Viole carrément l’article 2 de la loi 2005-020 sur la concurrence à Madagascar en motivant que la société française EMERGENT NETWORK ne peut pas commercialiser des produits CISCO SYSTEMS à Madagascar en se basant sur une attestation produite par le plaignant, RANARISON Tsilavo.
      La chaîne pénale malgache a entre les mains tous les documents attestant que la société CONNECTIC a bien reçu des équipements CISCO de la part de la société EMERGENT NETWORK,
    2. Viole l’article 6 du code de la procédure pénale malgache et l’article 181 de la loi sur les sociétés commerciales à Madagascar en acceptant que RANARISON Tsilavo, simple associé , peut être partie civile et surtout en attribuant les intérêts civils à ce simple associé qu’est RANARISON Tsilavo.
      Les intérêts civils dans les affaires d’abus des biens sociaux reviennent à la société qui est la victime directe et personnelle de l’infraction
  3. Malgré tous les cas de violation de la loi, la cour de cassation malgache dans son arrêt du 24 mars 2017
    1. Trouve normal que les intérêts civils sont attribués à un simple associé, RANARISON Tsilavo,
    2. Trouve normal qu’à Madagascar malgré l’article 2 de la loi sur le concurrence à Madagascar, tout le monde ne peut pas commercialiser des produits CISCO SYSTEMS
  4. L’arrêt du tribunal du commerce d’Antananarivo du 21 mars sur une affaire opposant la société CONNECTIC à RANARISON Tsilavo dépasse l’entendement. C’est la première fois que la société CONNECTIC et RANARISON Tsilavo ont affaire à la justice mais le magistrat malgache , Annick Rosa RAKOTOARILALAINA n’hésite pas à se référer au jugement du tribunal correctionnel d’Antananarivo qui fait référence à Sieur RANARISON Tsilavo contre Sieur Solo en évoquant 301 ET 301 de la Loi sur la théorie générale des organisations (LTGO)

 

 La spoliation d’un investisseur franco-malgache par les magistrats malgaches

Le jugement du tribunal correctionnel du 15 décembre 2015 est sans motivation, se contentant de dire « Il résulte preuve suffisante contre le prévenu Solo d’avoir commis le délit d’abus de confiance à lui reprocher ». Que dire de plus ?

La victime directe et personnelle de l’abus des biens sociaux est la société CONNECTIC et non RANARISON Tsilavo, simple associé : L’article 6 du code de procédure pénale malgache ainsi que l’article 181 de loi sur les sociétés commerciales à Madagascar sont clairs.

Les preuves que la justice malgache a été manipulée par RANARISON Tsilavo pour faire condamner Solo, son patron, à 2 ans de prison avec sursis et 428.492 euros d’intérêts civils à régler à RANARISON Tsilavo, un simple associé, alors que c’est la société CONNECTIC qui est la victime directe et personnelle

RANARISON Tsilavo a perdu son référé auprès du Tribunal de Grande Instance d’Evry (France) pour diffamation pour interdire la publication sur différents sites de l’état de la Justice à Madagascar avec RANARISON tsilavo en toile de fond 

Les mensonges de RANARISON Tsilavo prouvées par des preuves écrites

Les jugements rendus par les magistrats malgaches violant la loi au bénéfice de RANARISON Tsilavo

Les virements de 1.047.060 euros, objet de la plainte pour abus de biens sociaux de RANARISON Tsilavo, tous les ordres de virement signés par RANARISON Tsilavo, ont une contrepartie de 1.321.125 USD et 297.032 EUROS de matériels reçus par CONNECTIC d’après l’email du 25 avril 2012 de RANARISON Tsilavo lui-même

Les factures d’achat d’équipements CISCO auprès du revendeur WESTCON Africa, revendeur agréé CISCO, ainsi que les échanges de correspondance par la société française EMERGENT NETWORK d’après un schéma de travail tripartite (CONNECTIC – WESTCON AFRICA – EMERGENT NETWORK )établi par RANARISON tsilavo lui-même en mars 2009. RANARISON Tsilavo a lui même établi une facture d’IOS (logiciciel de CISCO) de 20.000 euros en mars 2009

Les douanes françaises ont constaté que la société EMERGENT NETWORK a envoyé à la société CONNECTIC pour 1.415.430 euros de matériels.

La victime directe et personnelle de l’abus des biens sociaux est la société CONNECTIC et non RANARISON Tsilavo, simple associé : L’article 6 du code de procédure pénale malgache ainsi que l’article 181 de loi sur les sociétés commerciales à Madagascar sont clairs.

L’arrêt de la Cour d’appel d’Antananarivo a violé l’article 2 du code de la concurrence et l’article 1598 du code civil malgache. Il a également traduit de travers une attestation pourtant claire de la société CISCO.

Le jugement du tribunal correctionnel du 15 décembre 2015 est sans motivation, se contentant de dire « Il résulte preuve suffisante contre le prévenu Solo d’avoir commis le délit d’abus de confiance à lui reprocher ». Que dire de plus ?

L’intérêt civil est dû au victime direct et personnel de l’infraction, la société CONNECTIC, et non à un simple associé : L’article 6 du code de procédure pénale malgache ainsi que l’article 181 de loi sur les sociétés commerciales à Madagascar sont clairs.

Le pouvoir souverain des juges du fond est applicable à condition que les décisions soient motivées et s’appuyent sur une base légale. Et comme le jugement du tribunal correctionnel est sans motivation tour en violant les lois malgaches tandis que l’arrêt de la Cour d’appel ne fait que violer la loi dans motivation.

Le jugement du tribunal de commerce du 27 mars 2019 présidée par RAKOTOARILALAINA Annick Rosa fait référence à l’article 301 de la LTGO concernant l’autorité de la chose jugée alors que c’est la première fois que RANARISON Tsilavo et la société CONNECTIC a affaire à la justice

RANARISON Tsilavo a signé la totalité des 76 virements de la société CONNECTIC vers la société française EMERGENT que RANARISON Tsilavo considère comme sans contrepartie dans sa plainte pour abus des biens sociaux contre son patron Solo

Un matériel de la société CISCO peut être revendu librement contrairement à la plainte de RANARISON Tsilavo et à la motivation des Cours à Madagascar. Car l’article 2 de la loi sur sur la concurrence ainsi que le contenu du site web de la société CISCO sont sans équivoque

On ne peut pas modifier un message qui a été envoyé par la messagerie GMAIL de GOOGLE contrairement aux mensonges de RANARISON Tsilavo auprès de la chaîne pénale malgache